Le terrible two

Sale période. Le terrible two, mon "expérience", mon ressenti...
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SOS d’une maman en détresse

On le sait, un enfant traverse sans cesse diverses phases: les dents, les peurs, les colères… Cela peut durer plus ou moins longtemps, et s’en aller aussi vite que c’est arrivé… Au mois de décembre, les couchers furent compliqués.
Ça nous est « tombé » dessus d’un coup, sans prévenir. Je ne compte pas les heures passées à ses côtés afin qu’elle s’endorme… Amy semblait avoir un besoin +++ de sa maman, de se sentir rassurée… elle a été un peu malade aussi, cela n’a pas aidé. Mes bras ont été réquisitionnés bien plus qu’à leur habitude. Mon (vieux) dos en a pris un sacré coup 👵. Malheureusement, quasiment 2 mois plus tard: seulement une (très) légère amélioration de ce côté là. Les couchers restent compliqués, mais il y a du mieux (je touche du bois).
Passer 3 semaines pleines (environ) à accompagner ma fille dans les bras de Morphée nuit et jour a été une épreuve très particulière, pour ne pas dire pénible (allez, trop tard, c’est dit). J’ai eu l’impression de passer à côté de ma vie. De ne plus rien faire d’autre. Ça m’a mise K.O. La motivation n’était plus là. Rien. Je me sentais comme « vide » (limite déprimée). Il faut dire aussi qu’elle n’en avait QUE pour « maman ». Je te passe le détails 🤯.

Je parle (enfin, j’écris) au passé, mais je ne dirais pas que tout s’est arrangé. Je ne reste plus à ses côtés jusqu’à ce qu’elle s’endorme. C’est toujours ça de pris. Le soir, il y a vraiment du mieux (5 à 15 minutes montre en main de pleurs, hurlements, et dodo). Elle décharge un bon coup. Soit 🤷‍♀. L’après-midi quand elle n’a pas crèche, c’est L’HORREUR, L’ANGOISSE (pour moi) 😓. J’en viens à redouter le moment de la sieste (et pas que 🙄). Ça dure en moyenne de 1h30 à 2 heures pour qu’elle s’endorme (SI elle s’endort)… !!! Elle ne pleure pas forcément, mais joue, fait des bêtises, sort de son lit, etc… A s’en arracher les cheveux. Elle commençait même à sortir de sa chambre, elle trouvait ça très drôle 🤦‍♀… On a réussi à stopper son amusement en 2 temps (une soirée + une aprem). J’en suis fière donc je le note noir sur blanc. On a été ferme 🙅‍♀. Et, pour une fois, apparemment, le message et passé (je touche à nouveau du bois). Elle n’ouvre donc plus la porte de sa chambre, mais ça reste souvent la fiesta… (alors qu’elle est crevée, car souvent les matinées sont bien remplies).*

* important de préciser qu’évidement à la crèche l’heure de la sieste se passe à merveille !

Ceci est un premier point, pénible, mais surmontable. Disons que petit à petit, je vois le bout (pas du tunnel hein, pas encore)…

Rentrons dans le vif du sujet…

Le terrible two

AUCUN DOUTE. Nous sommes en plein « dedans ». Les valises sous mes yeux, les cheveux blancs qui poussent aussi vite que les boutons sur mon visage en sont la preuve. Ahhhh, être maman c’est vraiment le plus beau métier du monde (à se répéter plusieurs fois dans la journée, yeux fermés, pour s’en convaincre ☝).
Cet article n’est probablement pas « politiquement correct » quand on sait que certains couples galèrent à fonder une famille, que des drames bien plus graves arrivent dans certains foyers, etc… Je le sais, je le conçois, j’ai beaucoup de chance d’avoir une jolie petite famille, en bonne santé (merci mon dieu). Alors, pardonne-moi de me « lâcher » ici, « d’exorciser » (il faut que ça sorte) 🤷‍♀.

J’adore ma fille, je donnerai ma vie pour elle ❤. Ce n’est pas une raison pour me voiler la face: elle a beau être très drôle, intelligente et magnifique 😏 (on n’est pas forcément objectifs en tant que parents, mais je le pense vraiment), elle est aussi SUPER RELOU 🤯. Je suis lucide, tous ceux qui nous côtoient le disent également (avec plus ou moins de tact): ce n’est pas un enfant dit « facile ». Amy, ma petite terreur, ma tornade… Ça me va: j’ai toujours dit, et ce bien avant d’être maman: « je veux un enfant avec du caractère ». Il suffisait de demander, j’ai été servie (et pas qu’un peu) ! Le terrible two sur un enfant « terrible », c’est une double dose de « bonheur » 👍…

Ce n’est pas la première période « terrible » à laquelle je fais face en réalité. J’avais eu le droit à une avant-première vers ses 17 mois (j’avais d’ailleurs rédigé quelques lignes « à l’époque » voir ici, aaaaah ce besoin d’exorciser!)… A ce moment-là, Amy ne parlait pas encore, elle ne savait même pas dire « NON »… Forcée de constater qu’elle s’est bien rattrapée depuis 🙄 !!!

Vivre avec un enfant « terrible »…

Vivre avec un enfant en plein « terrible two » c’est faire face à de (beaucoup trop) nombreuses crises… Des hurlements, des pleurs, des cris, de la violence même parfois… Ça nous tombe dessus sans que l’on ne s’y attende, à se demander si les émotions de ton enfant ne sont pas tranquillement installées en pleine Tour De La Terreur (cf Disneyland Paris) tant ça va ça vient (ascenseur émotionnel)…

Ça commence dès la première heure (ô joie).
Je te plante le décor: je réveille ma petite terreur qui dort encore profondément (cf couchers difficiles). Un « coucou maman » vient égayer ma journée ❤. « Tu me fais un câlin? »… « NON » (pas la peine de te préciser qui dit quoi). Je lui vole un bisou.
Il faut s’habiller. Première « bataille » de la journée (à noter: en période terrible, la vie n’est plus que batailles). Peut-importe ce que je choisi, ça ne plaît pas à la mini-fashionista qui ne jure que par ses tenues de Noël en ce moment 🤷‍♀ (sauf que le choix est limité et que la petite fée du ménage ne lance pas des machines tous les jours). Bref, même pas réveillée depuis 15 minutes que déjà des hurlements se font entendre. Crise pour le changement de tenue, crise pour descendre au RDC, crise pour mettre les chaussures/manteau, crise pour partir en voiture avec papa et devoir quitter maman, crise en arrivant à la crèche et devoir quitter papa… Seul moment de répit: le biberon. Toujours dans mes bras, même si elle sait le prendre seul, elle aime que qu’on le lui donne, et j’avoue qu’on en profite… des moments câlins que l’on apprécie à leur juste valeur car on sait que le jour viendra très vite où cela s’arrêtera. A la crèche tout se passe comme sur des roulettes (même si elle rechigne quasiment tout le temps à y aller, elle s’y plaît). Amy est sociable, joueuse, clown, bonne camarade (enfin quelques paroles positives!!!).

Seulement voilà: la crèche ici, ce n’est pas tous les jours (d’ailleurs si l’on veut jouer avec les mots, Amy n’est pas en crèche mais en halte garderie). J’ai l’immense plaisir de pouvoir profiter de mon bébé certaines journées… Jusqu’à il y a peu de temps encore, tout se passait à merveille. Amy s’endormait sans (trop) rechigner en début d’après-midi, et faisait des siestes de 3 heures en moyenne !!! 😎 Ensuite, nous faisions souvent des petites virées entre filles, goûter à l’extérieur, promenades, magasins…..

Depuis quelques semaines (qui me paraissent une éternité)… comme je le disais plus haut, « arriver » à faire en sorte qu’Amy fasse sa sieste est une épreuve digne d’une finale de Koh Lanta ! Bon… petit à petit, il y a du mieux 💪 (toujours toucher du bois, jamais s’avouer vaincue!). Mais s’il n’y avait que ça encore…………………….

Quel abominable monstre a pris possession du corps de mon p’tit bébé d’amour?! 😱
Sans que je ne comprenne pourquoi elle peut se mettre à hurler, crier, pleurer… Elle me pousse, me tape, me provoque…
Elle teste mes limites en fait !
C’est maintenant ou jamais qu’il ne faut rien lâcher, ne surtout pas se laisser dépasser ou se laisser faire (sinon d’ici 1 à 3 ans tu peux être sûr et certaine de voir Super Nanny débarquer chez toi). Ahhh, c’est facile à dire (écrire) hein?!
Je pense que l’on connait tous les « règles/conseils » à adopter en cas de confrontation avec un terrible (je t’en remet quelques-uns ici pour l’exemple) :

  • – faire diversion en parlant d’autre chose.
    – proposer une alternative, un choix, quand cela est possible, sans lui en imposer un directement.
    – prévenir de la suite des événements pour ne pas le surprendre.
    Quand la colère explose, il vaut mieux :
    – attendre quelques minutes qu’elle passe.
    – mettre l’enfant dans sa chambre pour qu’il y exprime sa colère tout seul. Le priver de spectateur peut vite le calmer.

Et moi dans tout ça? (réponse en image):

Je le sais: le dialogue c’est important, c’est primordial. Il faut expliquer les choses calmement.
Mais dans la réalité : quand ton enfant te HURLE dessus dès le réveil, que tu passes ta journée avec (même quelques heures en fait, car, soyons honnêtes, quand ça dure depuis des jours… en quelques minutes seulement tu peux être très vite gavé 🔫)… il devient de plus en plus difficile de garder son calme, sa bienveillance. Surtout quand tu as l’impression de parler dans le vide. Car franchement, expliquer gentiment les choses, je l’ai fait, je le fais. Selon les situations, j’arrive à couper court.
Exemple : la gamelle d’eau à Holly. Amy sait très bien qu’elle n’a pas le droit de jouer dedans. Je le vois bien son regard insistant pour que je la regarde, et une fois que mes yeux croisent les siens, la provocation commence. Un doigt dedans. Puis la main. Je lui ai expliqué des millions de fois de ne pas faire ça et pourquoi. « Parle à mon cul ma tête est malade » . Franchement, elle la connaîtrait cette expression que je suis certaine qu’elle me la sortirait. La gamelle ça passe encore, je ne m’énerve même plus (du moins j’essaie 💆‍♀), je la mets en hauteur, basta. Elle va hurler quelques minutes, oui. J’ignore, point. Ça passe. Car oui, l’ignorance est le meilleur des mépris, et franchement, ça aide parfois à couper court aux crises. Parfois. Le soucis est aussi là.
Je suis déjà devenue une adepte du « une fois, 2 fois, 3 fois ». Tu sais, ces mots que tu débutes avec le grand espoir de ne pas avoir à les terminer. Ces mots que tu débutes en te demandant dans ta tête « mais mince, je fais quoi à 3? » 😟… Honnêtement, je ne sais toujours pas exactement ce qu’il se passe à 3, mais ça viendra ! 😅 Une petite tapounette sur la couche… je me suis surprise à en arriver là, une fois (pour l’instant), je l’avoue… attention, je n’ai pas dis « fessée » ! Ah, ça, ça ne va pas plaire à tout le monde… Mais quand tu es sans issue, avec un enfant qui joue à fond la carte de la provoc’ et qui arrive même à pouvoir se mettre en danger, mais ne t’écoute absolument pas, tu fais quoi?!
Comment j’en suis arrivée là?
Pendant de trèèès longues minutes ma fille s’enfermait dans notre cellier, où se trouvent les produits d’entretiens (en hauteur donc peu de risque) mais aussi des caisses avec des produits, et surtout des outils, avec lesquels elle voulait jouer : marteau, tournevis, vis, clous… de plus il y avait une couette à sécher sur un support non stable et qu’elle se « cachait » dedans pour ne pas que je l’attrape (en mode cache-cache alors que je ne jouais pas du tout et qu’elle a interdiction de « traîner » dans cette pièce là, et qu’elle le sait très bien). Si moi, sa mère, je n’arrive pas à lui faire comprendre ce qui est dangereux ou interdit, qui le fera? Idem pour le four, elle adore coller sa tête dessus (quand il est en marche bien sûr)… non mais franchement… 🤬🤦‍♀ Au moins, depuis, elle ne tente plus d’aller faire des bêtises dans le cellier (🤞).
Je crie souvent plus fort… J’admets que ça ne change strictement rien à la situation. Mais les nerfs sont tellement mis à rude épreuve, que pfffff… il est difficile de garder son self control 💆‍♀. Puis j’ai l’impression de parler à un mur. De plus, elle me provoque énormément (2 ans et 4 mois, ça promet)… plus je m’énerve, plus elle est contente en plus l’☠💀☠… et là: le summum alors que toi tu es à bout de nerfs : ta progéniture te rit au visage. L’angoisse. Sale gosse.
Elle me hurle dessus aussi, sans raison, souvent, trop souvent… Mais alors, quand je dis « hurler » c’est vraiment HURLER ! Genre, je joue tranquillement avec elle, et là, d’un coup, elle m’engueule comme du poisson pourri… Ah non ma fille, je ne peux pas laisser passer ça sans rien dire ! Alors je lui explique LE RESPECT. Tout simplement.
Amy, quand elle veut ou a décidé quelque chose, elle ne lâche pas. Elle est ULTRA tenace… c’est épuisant, vous n’avez même pas idée ! Même à la crèche ils n’en reviennent pas (ouf, elle est comme ça là-bas aussi ^^). On est d’accord que ça se passe toujours mieux ailleurs, quand on n’est pas là? Donc je suis quand même « contente » de voir qu’il n’y a pas que moi qui profite de son petit (sale) caractère !

Pourquoi j’ai décidé d’en parler?

A me lire, vous devez vous dire que je suis mignonne à ne faire que me plaindre de ma fille. Non, ce n’est pas le but, Je n’ai pas rédigé cet article dans le but de me plaindre ou de me faire plaindre. Après, j’avoue, ça fait du bien de noter noir sur blanc ce que j’ai sur le cœur, mon ressenti. Car oui, ça pèse sur le cœur. Je suis triste de devoir « me battre » avec mon enfant. Moi qui suis de nature speed, dynamique voir même sanguine, j’avais réussi jusque là à toujours rester dans la bienveillance, la compréhension, l’écoute, le dialogue… le calme ! A mon plus grand étonnement, car, avant le terrible two ce n’est pas tout le temps le monde des Bisounours, loin de là d’ailleurs… Mais je gérais, j’ai toujours géré. Et dernièrement, je me suis sentie dépassée… Je me suis remise en question, je me suis dis « ça y est, je n’y arrive plus, j’ai dû rater quelque chose »… J’ai culpabilisé, de fou. Pire encore, j’en suis venue à appréhender de passer une après-midi seule avec elle… J’ai peur de la froisser, j’angoisse de faire un « pet de travers » et ainsi déclencher une crise…

Puis, en touchant quelques mots à quelques unes de mes « fidèles abonnées » (autant, je n’ai pas vraiment le temps de discuter en MP, autant il y a certaines mamans avec lesquelles j’ai plus ou moins pris l’habitude d’échanger… des mamans qui ont des enfants du même âge que la mienne). Et bien vous savez quoi? Ces échanges m’ont fait le plus grand bien. Non, je ne suis pas seule. Non, ma fille n’est pas un cas à part. Non, je ne suis pas une mauvaise mère (d’ailleurs le papa galère autant que moi, donc ça me rassure aussi un peu je l’avoue 😅)… Il est arrivé que mes nerfs aient complètement lâchés; je me suis vue enfermée dans ma chambre à pleurer, pendant que ma petite terreur était dans sa énième crise de la journée… Voilà pourquoi il y a des jours où je n’ai tout simplement rien envie de partager sur les réseaux.
Rajoutons en plus que ma fille souffre de troubles alimentaires, ce qui ajoute un stress supplémentaire quotidien dont vous n’avez même pas idée (mais je ne tiens pas à aborder ce sujet) + Holly qui abboie sans arrêt pour rien, qui passe son temps à gratter la baie vitrée pour sortir (manger de l’herbe et/ou des cacas de chat) + le travail (être auto-entrepreneur c’est loin d’être troulala troulalère) + la maison etc… Je suis souvent fatiguée. Très fatiguée. C’est la vie, ça va passer ! Il y a des jours avec, et des jours sans ! 🤷‍♀

Récemment j’ai posté une photo d’Amy m’ayant retourné tout le salon, avec pour légende « je ne sais pas si je dois rire ou pleurer »… J’ai reçu de nombreux messages me demandant de me dérider un peu, que ce n’était pas « grave » etc… Mais « allô? » (comme dirait Nabilla)… de 1 : la légende était faite (comme à mon habitude) sur le ton de l’humour, et de 2 : il s’agissait pour moi d’un jour « sans » (et un bon…), donc devoir me taper TOUS ses jouets à ranger, je m’en serais bien passé… mais évidement qu’il n’y a pas mort d’homme, je suis ravie que ma fille s’éclate ! J’ai beau aimer avoir une maison rangée, je prends sur moi et je range régulièrement en fermant ma gueule ! Bon après, c’est le jeu des réseaux. On le sait ! Le plus « drôle » c’est aussi que souvent, les « piques » viennent de celles qui n’ont pas d’enfants.

Au moins j’ai compris une chose, qui a pas mal changé mon état d’esprit : ce n’est pas de ma faute ! Il y a des enfants plus faciles que d’autres (d’où le fait que certaines n’ont jamais connu de telles phases #chanceuses) mais mon expérience est loin d’être un cas à part. Si mes mots peuvent aider ne serait-ce qu’une seule maman à aller un peu mieux, je prends 👌.
Maintenant je vais m’armer de patience, cela devrait aller mieux dans les jours à suivre car j’ai réussi à réquisitionner une demi-journée en plus par semaine à la crèche 🙈… Ceci étant dit, je vous rassure, je passe aussi d’excellents moments avec ma petite poupée (et heureusement)… ❤

5 commentaires

  • Merci… ❤️
    Je vis exactement la même chose, et ça fait du bien de te lire.
    Force à nous 💪

  • Coucou ! Quand je te lis je me vois exactement pareil en ce moment avec Alban je culpabilise à fond… Merci de se partage je me sent moins seul d’un seul coup.
    Courage à nous 👊💪

  • Ouahou que ça fait du bien… J’ai deux enfants, je dis souvent qu’ils sont fait dans le même moule mais qu’ils sont foncièrement différents… Le premier ? La force tranquille, réfléchi, sage… Un amour ! La deuxième ? L’extrême opposé ! Ici aussi ça cri pour faire taire des cris (à l’instant même où je cri je me dis que c’est débile, mais oh ! Hein ! Ça défoule !!!!) et oui on pleure face à un bordel car on s’en serait bien passé à l’instant T. Courage et un grand Merci pour cet article 💆🏻

  • D’un coup, je me sens moins seule 😅
    Un million de mercis pour ton article qui fait du bien ❤
    Maman d’une Constance de 22 presque 23mois… 3semaines qu’elle nous fait vivre de « grands moments »🤯 ! Les couchers n’en parlons pas … 1h30 minimum… on s’est mis à regarder les infos à 22h 🤣. Bref! Encore merciiiii ❤❤❤

  • Laura Legendre

    Enfin, enfin une vraie réel description de ce que je vis au quotidien ça fait grandement plaisir de sentir qu’on n’est pas seule à vivre ce genre de chose malgré tout mon désespoir est toujours là fois deux avec mes jumelles j’ai l’impression que jamais je ne m’en sortirai que jamais je ne pourrais être une bonne maman au vu de ce qu’elle me font vivre et du fait qu’elle ne respecte absolument pas mon autorité dès le réveils comme vous le décrivez et c’est épuisant, épuisant physiquement épuisant psychologie d’avoir l’impression de devoir sans cesse se battre contre ses enfants

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